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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 22:43

Non ce blog n'est pas abandonné !

Quelques toiles d'araignées l'ont investi, mais pas pour longtemps.

Avec la publication de ma "Symphonie déconcertante", ce  journal en ligne

va retrouver tout son lustre.

De plus, il faut savoir que sans appareil photo, la motivation n'est plus la même.

Mon petit APN refuse  obstinément de s'ouvrir. Je crois qu'il s'est fermé à tout jamais !

 

Donc pour résumer la situation, j'attends mon heureux événement ( mais non !! Juste la venue de mon livre !)

l'arrivée aussi d'un nouvel APN vaillant  et, peut-être aussi, un peu moins de travail à l'orchestre !

 

Donc, je règle tout ça et reviendrai en force très bientôt.

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 15:39

 

Après de nombreuses négociations avec mon éditeur, Edilivre,

nous avons trouvé une entente sur le prix de mon livre.

Au départ, ce dernier s'élevait à 21,50  euros !

Mon sang n'avait fait  qu'un tour et j'étais prête à tout arrêter par dépit.


Finalement, j'avais réussi une toute petite victoire à 20 euros, ce qui était

encore trop cher pour un livre de 210 pages.

Aujourd'hui, nous sommes tombés d'accord sur 19,50 euros.

Merci Edilivre !

 

De mon côté, cela va me permettre de le vendre 1 euro de moins, ce qui

ne sera pas une trop forte perte et contribuera à ma lutte "perso" contre

les livres chers.

 

Donc, mon très joli livre se vendra - en passant par moi - au prix

de 18,50 euros ( prix obtenu à la force du poignet ! ).

 

Je suis contente car s'il avait fallu changer d'éditeur, ma couverture

n'aurait pas été la même, ni la police, ni la mise en page qui, disons-le, sont  très

belles. Le petit + c'est la mention suivante, figurant à la fin de l'ouvrage :

 

"Tous nos livres sont imprimés
dans les règles environnementales les plus strictes".

 

Ecologique, donc !

 

Voilà, tout va aller vite à présent.

 


 

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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 08:29

 

La lutte pour le prix de ma "Symphonie déconcertante " est toujours

en vigueur. L'éditeur Edilivre m'a concédé une baisse d'1,50 euros.

Ce qui donne un prix de 20 euros pour un livre de 210 pages !

 Seriez-vous prêts à mettre ce prix-là ?

 

Personnellement je trouve cela exagéré et c'est pourquoi je cherche

à faire mieux...

 

En attendant et pour vous faire patienter, voici pour vous la photo

de la couverture de mon livre. Je sais que cela ne se fait pas tant que le

bouquin n'est pas sorti, mais tant pis !

 D'autant que si je change d'éditeur, la couverture risque de n'être

pas exactement la même ! Il n'est pas non plus impossible que je garde

cet éditeur. Le flou pour l'instant...

 

Bises à vous mes chers lecteurs.

 

 

 


241999_LCL_C14_1.jpg

 

 

 


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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 22:04

 

Le "papillon" c'est mon livre. Je viens de recevoir les épreuves

de l'éditeur.

La couverture est magnifique, la quatrième de couv' aussi,

imaginative, superbe... Le contenu n'en parlons pas !

Bien sûr, je relis le texte afin d'y traquer la moindre erreur,

comme par exemple  "l'ntretien" au lieu de "l'entretien" !

Cela s'appelle une "coquille", et j'en ai décelé

 déjà une dans les 50 premières pages.

L'autre question est relative au prix de vente. Edilivre

a fixé un prix exorbitant. Je suis dépitée et vais tout mettre

en oeuvre pour faire  baisser cette température de

fièvre intense : 21 euros !!

C'est le prix d'un pavé de Bernard Werber qui fait 500 pages. 

Mon roman en fait 209 ! Ce qui n'est pas si mal si l'on considère qu'il

a été élagué jusqu'à sa plus concise définition.

Voilà les nouvelles du front littéraire...  Bises sur le vôtre !

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23 mars 2012 5 23 /03 /mars /2012 22:23

 

 

 

Voici la musique du "générique" de la fin de mon roman...

Je n'en veux pas d'autre : un enregistrement un peu suranné,

des mots superbes sur une musique simple et surtout la voix

de Michel Jonasz...

Lorsque vous tournerez la dernière page de mon livre, cette mélodie 

 se mettra en place, automatiquement dans votre esprit.

Surtout si vous lisez ces lignes...


Personnellement, j'écoute  Michel Jonasz et Catherine Lara

dans ma voiture, à fond, lorsque je roule vers le midi.

C'est pourquoi d'autres titres  de Lara et de Jonasz figurent

aussi dans mon livre, ces derniers seront  à placer 

au milieu du bouquin, à des endroits spécifiques décidés par

le lecteur. J'envisage un roman comme un film et ne peux l'imaginer

insonorisé !

En résumé, voici les titres des  chansons de "Symphonie déconcertante"


De Catherine Lara :


Foutons-nous la paix !


Boule au cœur


Prends cet enfant de toi





De Michel Jonasz :


Les fourmis rouges


Je voulais te dire que je t’attends


(Cette dernière chanson est donc le générique musical de « FIN »  obligé  de  ce livre !)

 

PS: Le côté amusant c'est qu'il n'y a aucun droit d'auteur ou royaltie à verser pour ces musiques mentalisées !


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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 10:10

   Le voici le voilou, mon roman, enfin presque... Il se trouve actuellement

dans le " starting- bloc- opératoire" de  la maison d'éditions,

j'ai nommé Edilivre.

 

   Ce qui signifie en clair que sa sortie est programmée pour bientôt.

   De mon côté les corrections ont été faites, et j'attends le renvoie

des épreuves prêtes à imprimer, afin d'en corriger à nouveau les

éventuelles "coquilles ", de la part de l'éditeur cette fois.

   Selon les erreurs répertoriées on recommencera ce jeu

de ping-pong autant de fois que nécessaire, jusqu'au BAT

( bon à tirer) que je devrai ensuite signer pour arrêter le

manuscrit définitif.

 

   Voilà comment ça se passe. Je connais tout, à présent, de l'envers du

décor d'un bouquin.

 

   Donc, en résumé, le titre de mon roman est "Symphonie déconcertante"

avec en sous titre : "chronique d'un fiasco amoureux". 

   J'ai souhaité rajouter le sous-titre pour bien signifier le contenu du livre,

afin de ne pas décevoir ceux qui pourraient penser qu'il s'agit d'un bouquin

exclusivement sur le thème de  la musique, bien qu'il y ait aussi

la musique dans le  contexte.

 

   La photo de couverture est de mon cru et je ne suis pas peu fière du résultat.

Ma fille contribue, avec sa beauté fulgurante, à la réussite de ce visuel

que je trouve original.

 

   J'espère que ce roman un peu déjanté ( mais toujours poétique) sera bien

accueilli. Pour ma part, j'y ai mis tout ce que j'aime.

   A suivre...

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20 février 2012 1 20 /02 /février /2012 22:00

 

    Oui, j'ai vu les montagnes couvertes de neige fermer les avenues

de la ville de Grenoble, telles de gigantesques  apparitions

 suspendues dans le ciel, mastodontes au dos voûté,

hérissés parfois mais toujours blancs...

 

    Oui j'ai vu le Rhône et la Saône baigner les pieds de la

ville de Lyon. J'ai découvert une région que je ne connaissais

pas. 

 

   Nous sommes passés par le point central de la France,

avec son monument représentatif, et avons rêvé

devant une scène de vie, peinte en trompe- l'oeil sur un grand mur

lisse, à Lyon : le "mur des Canuts". 

 

    Mais ce qui m'aura le plus marquée, c'est ma rencontre avec

 Marie-Antoinette dite "Toinon" .

   Toinon est une jeune dame de 86 ans, pleine de vie, d'énergie,

d'humour et d'amour. Son accueil a été généreux pour nous six !

   Cette dame nous a reçus comme des princes, avec une énergie 

de quinquagénaire voire trentenaire !  La vieillesse répond donc

à l'idée que l'on s'en fait. Pour elle, ce n'est pas un problème, tout 

son corps clame : " jeune je suis, jeune je reste !"

 

   Mon autre rencontre inoubliable a eu lieu auprès de Léna.

Ce bébé de 8 mois possède un "quelque chose" que je ne peux

vous dévoiler ici. Cela ne m'appartient pas, mais je vous invite à

découvrir d'après photo, le charisme et l'aura de cette toute

petite fille exceptionnelle.

 

    Puis, la surprise nous est venue d'une boîte à lettres sur

laquelle j'ai pu lire mon patronyme ( chose rare en France puisque

mon patronyme est espagnol) mais le plus  drôle c'est le nom

qui l'accompagne. Pour ceux qui me connaissent, je vous laisse

le découvrir, pour les autres sachez que mon compagnon est hauboiste...

 

 

 

 


photos-sympas-1924.jpg

      La boîte à lettres surprenante

 

 


 

photos-sympas-1960.jpg

      Le mur des Canuts.

Tout ce que vous voyez là est factice. J'ai voulu poser le pied

sur la première marche et me suis heurtée à un mur bien lisse et bien vertical.

 

 

photos-sympas-1962.jpg

      Idem, tout est faux, jusqu'à la banque populaire !

 

 

 

 

 

photos-sympas-1968.jpg

 

 

 

 

 


photos-sympas-1969.jpg

      Détail de cette banque idéale...

 

 

 

 

 

photos-sympas-1970.jpg

Tradition lyonnaise oblige...

 

 

 

 

 

photos-sympas-1947.jpg

      Léna...petit Bouddha, au regard ironique sur le monde.( sur la photo elle a trois mois)

photos-sympas-1952.jpg

 

 

 

 

 

 

 

photos-sympas-1995.jpg

      Le centre de la France.( sous le chapiteau )

 

 

 

 

 

photos-sympas-1913.jpg

Toinon, occupée avec son apn. ( Le mien fait des photos troubles !)

 

 

 

 

 

Et puis j'ai rencontré un paquebot, dans un appartement. 

Insolite, non?


photos-sympas-1977.jpg

Ceci est la réplique exacte du "Pasteur". Tout y est, jusqu'aux danseurs, sur le pont. 


 

 


photos-sympas-1974.jpg

Un travail de fourmi réalisé par Michel Bonnet,  passionné de maquettes et très habile.

 

 

 

 

 

 

photos-sympas-1983.jpg

L'orchestre miniature

 

 

 

 

 

photos-sympas-1956.jpg

Vue de Lyon, depuis Notre Dame de Fourvière

 

 


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14 février 2012 2 14 /02 /février /2012 19:00

 

    Le 14  Février est la fête  des amoureux. 

   Je ne sais pas vous, mais moi je lui ai fait sa fête au 

mien, pour avoir laissé traîner ses chaussettes sur la table,

ses paperasses administratives sur mon plan de travail, ses

bottes pleines de boue dans la cuisine. 

Bonne fête mon chéri ! 

   Je plaisante évidemment.

   Il n'empêche que cette année Interflora et ses copains,

Sephora et autre Nocibé, sont restés à la ramasse à cause de

cette "pseudo crise économique" qui continue d'enrichir ceux qui

n'en ont pas besoin ( d'être enrichis).

 

   Pauvre Saint-Valentin !  Aussi, qu'est-il venu faire dans cette galère

médiatique? Il est vrai que la télé n'existait pas à son

époque : il était donc pur et intègre et c'est la raison de sa canonisation.

   Aujourd'hui, il semblerait que le réel critère de sainteté soit le passage 

derrière le petit écran. Par cette fenêtre de notoriété, vous rentrez 

chez les gens, en conquistador d'un public con-vaincu et con-sentant !


   A quand la Saint-Déglinguin, la fête des gens divorcés ?

   Cela  peut aussi rapporter gros, demandez à mon avocat et à ceux

des deux-tiers de la population ( un peu de reconnaissance que diable !).

 

    Allez, par ce post un brin déjanté, je dis au revoir à la neige, qui,

si elle nous a quelque peu dérangés dans nos habitudes, elle

nous a  tout de même permis de rêver à des bribes d'enfance,

ressuscitées d'après Andersen où nous étions cette reine blanche

sur son traîneau, au milieu d'un paysage polaire

( je précise en passant que son manteau d'hermine était

faux, en pur bébé acrylique !).

 

   Mesdemoiselles Thaïs et Mischka, après les cinq premières années de

votre vie, vous avez enfin rencontré la  neige pour la première fois.

   Il vous faudra attendre je ne sais combien de temps avant

de la revoir, l'avenir nous le dira. 

 


photos-sympas-1876.jpg

 Les deux chiennes du traîneau de la "Reine des neiges" : Thaïs et Mischka.


 

 

photos-sympas-1883.jpg 

L'entrée de la maison secrête de "la Reine des neiges"

c'est Elle qui a pris cette photo !

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5 février 2012 7 05 /02 /février /2012 21:03

 

 

     La "folle journée" s'achève à Nantes et en région, nous laissant

sur les rotules, dans un froid sibérien.

     Tout le monde est plus ou moins malade et je n'échappe

pas à la règle. Ce fut éreintant, ce rythme de concerts

éffréné.  Nous avons donné un programme de musique russe

allant de Tchaïkowski à  Prokofiev. 

     Dans ce " libre service "de la musique que représentent

les folles journées, j'ai trouvé le moyen d'aller écouter

le concerto de Tchaïkowski pour violon, interprêté par ma

"chouchoute", ma violoniste préférée, j'ai nommé 

Patricia Kopatchinskaja. Accompagnée par l'orchestre Sinfonia

Varsovia dirigé par Jean Jacques kantorow,

Patricia s'est montrée exceptionnelle.

     Ce concerto tant de fois entendu, m'est devenu indigeste

à force de rabâchage. Mais là, je le savais et c'est pour cela

que je me suis déplacée, j'ai redécouvert cette musique

sublime, réinventée ou ressucitée par Patricia.

Cette fille est une sauvageonne, habitée par le souffle de

la musique pure qu'elle incarne à souhait. Le violon n'est

qu'un simple accessoire au service de son expressivité

exacerbée. Elle s'en fout, elle exprime le volcan qui est

en elle, rien ne l'arrête, dans sa transe provocatrice,

émouvante à vous couper le souffle.

Patricia arrive sur scène dans sa longue robe rouge de

soirée. Si vous baissez les yeux vous vous rendez compte

que cette fille est pieds nus sur la scène, prête à s'ancrer

dans le sol et y puiser une énergie dévastatrice utilisée à

bon escient. 

     Je vous invite à écouter l'enregistrement réalisé cet après-midi

par Arte, lors de son concert à Nantes.

Attention, ça décoiffe !

http://videos.arte.tv/fr/videos/glinka_tchaikovski-6377110.htm

 

 

patricia.jpg

 

Patricia est charmante en plus, simple et vraie.  Elle est

ambassadrice à "Terre des hommes". 

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29 janvier 2012 7 29 /01 /janvier /2012 21:29

 

Dans ce contexte économique difficile où les prix des énergies

telles le pétrole, l'électricité et le gaz, subissent des

ascensions himalayennes, pourquoi ne pas revenir

 à des valeurs plus écologiques et moins onéreuses?

Mon ami Philippe a construit un four à pain.  Depuis qu'il

en a fait l'acquisition, sa vie a changée. 

Cuire ses aliments dans son four représente un art de

vivre. Il l'allume le matin, avec des ceps de vigne, surveille

le feu afin qu'il ne s'éteigne, jusqu'à ce que la température

atteigne 280 degrés. Il commence alors par les grillades,

positionnant ses côtes de porc à l'entrée de son four.

Ensuite il retire le bois et les cendres, et attend que la

température descende à 250 degrés pour enfourner

ses pains façonnés maison. Ensuite lorsque la

température continue à baisser, il peut mettre ses

viandes rôties ou en râgout, ses poissons,  puis ses

gâteaux et enfin  ses entremets ( riz au lait ). 

Cette activité se déroule calmement en une journée. 

Pour abriter son four, Philippe a construit une dépendance

accueillante, nantie de son évier, de son établi, d'un

réfrigérateur et d'une table. Il y fait bon et de là s'échappent,

par la grande baie vitrée, les fumets   alléchants

d'une cuisine rustique et saine.

 

 


photos-sympas-1856.jpg


Philippe et son four, en "Vestale" ( au masculin). Il nourrit

le feu pour le faire durer. 

 

 

 

 

photos-sympas-1857.jpg


Il dépose la nourriture à cuire avec un immense respect, telle une offrande

sur un autel.

 

 

 

 

 

 

photos-sympas-1859.jpg

 

Et voici la première opération, les côtes de porc dans ce four

brillant comme un soleil...

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  • : Balades au bord de la musique, en lisant les animaux et en écoutant un livre
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